Les aléas des marchés financiers étant ce qu’il sont , les principaux family offices se doivent de prendre des risques plus élevés pour atteindre leurs objectifs de rendement. Une étude d'UBS montre que les family offices continuent de se détourner des instruments à revenu fixe traditionnels, dont les rendements sont plus faibles que jamais, pour se tourner vers des actifs alternatifs tels que le private equity, les hedge funds et l'immobilier. En examinant les portefeuilles des family offices que nous soutenons, nous pouvons également confirmer cette tendance.
Il est également intéressant de noter l’article récent selon lequel la Suisse est un "magnet for family offices". Reconnue depuis longtemps comme un centre financier de premier plan et l'un des pays les plus stables du monde sur le plan économique et politique, la Suisse constitue un choix évident de juridiction pour les familles fortunées qui souhaitent y baser leurs importantes activités financières.
En connectant ces réalités, et représentant un groupe qui a pris la décision de s’installer en Suisse il y a plus de 10ans, il nous semble évident que l’afflux des family office et la tendance vers cette sophistication des solutions d’investissements et de planification est tout sauf un hasard !
family offices are increasing their exposure to private markets with 40% intending to increase private equity, 26% hedge funds, 19% real estate